lundi 7 décembre 2020

Revue

Culturoscope du mois de décembre 2020

 Sommaire :Le Mag P.2 Azimut P.3 Reflexion P.4 Agenda P.6 Vidi P.10 -
Bons plans P.11 Bande dessinée P.12
  

mercredi 18 novembre 2020

Bulles de BD ( philactères )

Il est d'usage de rechercher une image de bulle d'expression pour la réalisation ; d'une caricature, d'un montage ou pour une planche de BD.

Voici dessinées trois des plus utilisées en png. 

La plus courante; pour une expression normale

La bulle pour des personnages en pleine reflexion

Celle pour des expressions particulières; colères, médias ou autres.

 


vendredi 25 septembre 2020

Nouvelle parution

 

 

Résumé de l’œuvre  « Moi, la sorcière »


 « Moi, la sorcière » raconte l’histoire tumultueuse et douloureuse d’une femme du nom de Nando. Rejetée par sa communauté et par tout le village de Nougtenga, elle trouvera refuge dans la capitale au centre d’accueil des femmes accusées de sorcellerie de Tanghin. Le récit fait un flash-back sur toute la vie de Nando. Au cours de son existence jalonnée de multiples rencontres, trois femmes marqueront à jamais son esprit. Ces trois femmes, accusées avant elle d’être des mangeuses d’âmes subiront, chacune jusqu’à l’extrême, les outrances de leur communauté. Leurs destinées s’achèveront fatalement sous les coups et contrecoups de ces croyances surannées en la sorcellerie. Il y eut d’abord, durant sa jeunesse, la vieille Gompoko, puis la femme du village de Kousbo et enfin Miteba la commerçante. Dans cet océan de mésaventures et de larmes, le récit fait la part belle à une amitié indéfectible entre Nando et Koudpoko, sa cousine issue du même village. Grâce à elle, Nando supportera les jugements sur sa personne et réussira à préserver une vie jonchée de cruelles injustices.



mercredi 26 août 2020

Les coureurs

 Dans cette requête d'illustration, il fallait distinguer les personnages par l'âge.

Cependant leur activité (la course) imposait une certaine fourchette d’age et une certaine typologie pour réaliser des dessins crédible. Le style semi réaliste semblait adapté à cette étude; en permettent de légères variations dans les formes qui suggéraient assez bien la différentiation des ages.






vendredi 12 juin 2020

Le Storyboard

           Le story-board est aussi appelé à juste titre scénarimage, parce qu'il s'agit en substance de la mise en image d'un scénario, afin d'en optimiser la réalisation.
Principalement utilisé dans le domaine cinématographique et dans celui de la bande dessinée, le storyboarder exécute en fait une esquisse de bande dessinée, qui se basant sur le scénario, propose à la production et à la réalisation, un découpage imagé, par plan du récit.

Voici un exemple de storyboard d'un projet d'animation...









samedi 23 mai 2020

B.A.-ba de l'animation : mouvement et coordination



                                                           Les bons éléments, au bon endroit et au bon moment.
                                                         Tels sont les ingrédients et la recette d'une bonne animation.

jeudi 21 mai 2020

Une illustration comme logo

Un collaborateur par sms me demande " un petit dessin". Selon ses propres  termes.
Explication : une jeune fille ou enfant portant en vendeuse une assiette de fruits .
Question : quel usage ? Logo ou illustration ?
Réponse : plutôt illustration, mais un monochrome serait appréciable.
   Bien...
Proposition



 Un png facile à manipuler  qui devrait faire l'affaire

jeudi 5 mars 2020

Boite à image : interculturalité

Ce sujet de l'interculturalité cher à paixeducation est  un regard sur, les diversités culturelles, qui doivent constituer une riche source d'inspiration et de découverte ;plutôt que de conflits.
Il rappelle le sujet de la perception qui invite à l'acceptation d'autrui comme un autre soi, dans autre dimension.
Beaucoup des concepts qui nous paraissent étranges, le sont par rapport à nos divergences culturelles.





vendredi 31 janvier 2020

Du graphique pour enseigner : Nouvelle approche pédagogique ?



         
Lorsque j’ai rencontré le chaleureux bonhomme à la toute dernière édition de la FILO, le courant est vite passé. Son immense barbe m’avait beaucoup amusé, nous avons sympathisé. Il s’appelait Sinaré Yacouba, était auteur et professeur d’anglais ; et avait son stand d’exposition dans le même rayon que le mien.
Il me rappela un mois plus tard pour me soumettre un sujet et, passer une commande pour l’illustrer si possible.
Le tout tenait dans une toute petite histoire résumée comme ceci :
Un enfant est train de jouer sous un arbre, un serpent survient et le mord à la jambe, son père accourt et tue le serpent avec un bâton, il transporte ensuite son gamin au dispensaire, où celui-ci montre fièrement sa jambe bandée, après y avoir été soigné. Voilà !
Une petite histoire sympathique à traduire en image. Mon tout nouveau collabo avait déjà, par soucis de précision sans doute, pris soin de la découper en six étapes (que j’ai conservé ; je vous dirai pourquoi sous peu). Je me suis juste préoccuper du type de graphique attendu (couleur ou pas) et de l’usage qui lui était réservé. Le retour serait cette fois ci moins précis que ne l’était l’histoire. Du noir et blanc serait suffisant, les illustrations seraient probablement portées dans un livre, mais devaient essentiellement servir à un exercice effectué en classe avec les élèves. Bon cela me va comme indications ; on y va donc !
En somme, et en fait, monsieur cherchait un moyen original pour amener ses élèves à s’exprimer en décrivant des situations avec leurs propres mots d’anglais. Bingo !
Et voici indiquer là en passant, la robuste mais transparente barrière qui sépare l’illustration de la caricature. L’illustrateur doit réfléchir…(le caricaturiste aussi, rassurez-vous) à un double objectif. Ce qui déjà les réunit, c’est qu’ils partent tous deux, d’un sujet donné qu’ils doivent retranscrire graphiquement, en ironisant, en parodiant, en fustigeant et j’en passe. Mais alors que le caricaturiste peut absolument se suffire à l’un des aspects ci-dessus cités, l’illustrateur doit lui, aller plus loin, ayant aussi et surtout le rôle de décrire en élucidant au mieux, le dit sujet. Pour imager (c’est tout à fait le lieu pour le faire), si un cube est donné comme sujet à l’un, comme à l’autre ; le caricaturiste pourra se contenter de la face qui lui est visible pour travailler, pendant que l’illustrateur aura nécessairement besoin de considérer les autres vues. Si bien que certaines illustrations permettent de se passer de leur sujet de départ. ( Avis non académique bien entendu ). Et à propos de sujet, revenons au nôtre, si vous convenez bien sûr.
J’ai donc, ma compréhension de la chose pour travail du monsieur, plus une proposition d’amélioration à lui faire ; mais je m’en tiens pour la commande et dans les délais ; en mode pro, à lui fournir sans modification les six étapes demandées que voici.




La raison (je vous l’avais promis) est que je tiens d’expériences précédentes qu’il faut éviter d’emblée d’aller plus vite et plus loin que le sujet lui-même. Au mieux des cas, vous risquez tout simplement de ne pouvoir vous faire comprendre du commanditaire, à moins bien sûr que vous ne puissiez auparavant discuter des propositions.

Tout ceci étant fait, je me suis senti alors libre plus tard, de lui envoyer comme en bonus ma proposition, qui cette fois ne modifiait en rien le fond du travail ; mais concernait plutôt une vision personnelle pour un usage possible des illustrations dans son cadre pédagogique. Une proposition qui vous ai résumé ci-dessous.      
Je ne suis pas sûr que l’auteur n’avait lui-même une meilleure idée pour exploiter les illustrations, pour cela, je fournis la mienne comme contribution, sans engager de débats.
Je partage ceci parce que je trouve l’approche doublement intéressante, dans le sens qu’elle peut rapprocher l’élève à son professeur ; et aussi et surtout susciter l’envie de travailler auprès des élèves.