lundi 26 novembre 2018

Affiche pour théâtre


  La terre ton amie en tant que pièce de théâtre
 dénonçait essentiellement la persistance des comportements
 irresponsables d'une humanité continuant de détruire son habitat déjà mal au point.


lundi 19 novembre 2018

Couverture évangéliaire


Évangéliaire en langue mooré sur les quatre apôtres

Abbé André Kaboré

Presses Africaines 






mardi 13 novembre 2018

A mon avis...

     
                      
             J’ai été agréablement surpris de constater que le pays vibrait harmonieusement du point de vue culturel surtout, en ces périodes de rentrées. De grand rendez-vous comme le SIAO ,le Tour du Faso , les Récréatrales et j’en passe , battent leur plein malgré une situation sécuritaire aux abois. C’était bien à mon avis ,la chose à faire . C’est-à-dire « continuer à vivre » ; n’en déplaise à ces térrorisés qui croient térroriser . Parlant d’ailleurs de cette étrange situation . J'ai d’autres constats alarmants qu’il me plairait de partager . 
      Mais avant tout propos, il me semble indispensable de précisément clairement mon point de chute ,ceci pour éviter tout qui pro quo. Le voici : à mon avis ,dans une république ,l’État doit être celui qui tranche en amont et en aval sur les questions d’intérêt commun. Dans l’intérêt de tous justement. Or, ceci dit ,force est de constater que nous en sommes là, très souvent loin du compte.   Tenez ,pour quelques exemples ; un précèdent gouvernement (relevant donc de l’État) avait émis un projet de loi visant à interdire certains aspects ostentatoires de pratiques religieuses. Qu’en a ton fait ? Ce projet a t-il seulement été considéré ? Ou encore ,pendant que l’éducation nationale ,(de l’État encore) peine à trouver ses marques , vous en trouvez, qui à coup d’injections budgétaires, installent des formes d’éducations parallèles ,avec pour prétention d’aider ce même État. Une seule question ;qui en contrôle la qualité et la conformité ? Et un dernier pour la route, histoire de ne pas trop vous enquiquiner . Considérez les espaces verts installés (par l’État ) dans le processus d’aménagement  des villes ; Eh bien la plupart des quartiers n’en ont plus du tout. Transformés en lieu de culte ou en « maquis ».
              A mon avis cette situation sécuritaire  désagréable a tout simplement trouvé un terrain propice dans cette forme de faiblesse de l’État, qui devra vite se ressaisir. Car le combat n’est pas perdu. En fait il ne fait que commencer. Et de mon point de vue ,il faudrait rapidement défaire  « l'ennemi » sur le front de l’éducation. Ensuite ,un modus opérandi intéressant, serait de porter la plus part de ses coups dans le registre des catastrophes naturelles, et de « continuer à vivre » en se protégeant au mieux. Car bientôt ,ce paroxysme de la bêtise humaine, où l’Homme prétend défendre Dieu trouvera son terme.